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> Observer le jardin pour détecter et résoudre rapidement les éventuels problèmes avant qu’ils ne deviennent trop importants et ne nécessitent des interventions lourdes et polluantes : attaques de ravageurs ou de maladies, apparition de carences…
 

>  Favoriser un équilibre naturel dans le jardin par l’encouragement de la biodiversité : présence de faune auxiliaire (régulatrice des prédateurs ou pollinisatrice), préservation de la pédo-faune.

> Valoriser les déchets verts par broyage, puis compostage ou paillage, pour favoriser la vie du sol et limiter les apports en déchetterie ou le brûlage.

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> Utiliser des traitements naturels peu ou pas polluants (extraits végétaux) et encourager la bonne santé naturelle des plantes pour les rendre plus résistantes aux attaques.

> Utiliser des amendements naturels et non polluants, en délaissant les engrais chimiques.

> Favoriser les interactions naturelles de défense : lutte intégrée, cultures associées, sol vivant.

> Développer les techniques d’économie d’eau : rationalisation de l’arrosage (arrosage profond), récupération des eaux de pluie, choix de plantes adaptées au climat, paillage.

> Encourager le développement de la vie du sol : culture sans labour, apports d’amendements, pose de paillis, création d’humus.

> Gérer les mauvaises herbes sans herbicide chimique : utilisation de paillis organiques, minéraux ou végétaux, recours aux herbicides naturels (à condition d’agir très tôt), limitation des disséminations de graines…

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